Mes filles, réveillez vous
réveillez vous, mes filles
demandait leur père,
tenant ses deux filles dans les bras,
en les secouant tout doucement
comme s'il voulait
qu'elles se réveillent
qu'elles ne dorment plus
cherchant leur regard.
attendant leur sourire.
Mais les filles ne dormaient pas,
elles restaient immobiles dans ses bras.
En vain le père suppliait,
en vain il pleurait,
il les a regardées
les yeux pleins de larmes,
les yeux qui ne puvaient pas croire.
Il ne pouvait pas saisir,
pas accepter la vérité
qu'en soi il connut déjà
Ce fait qui pourtant
était pour lui trop effrayant.
C'etait là-bas, loin,
ou peut-être près,
à Damas,
où les humains ont cessé
d'être humains.
Čestitam za pesem napisano v popolni francoščini!
Hvala za kompliment, veliko mi pomeni.
Komentiranje je zaprto!
Napisal/a: Esther
Uredniško pregledano.
Ocenjevanje je zaključeno!