Uh, danes spet pišeš brez ritma besede!
Ponikle so v ustih, le prsti spoznajo
njih zloge, ko led tastature zaznajo
in koščke razpadlih sestavkov iz bede.
Res moraš pisati te mrtve sonete,
ponavljati rime, ubežna občutja,
in drezati v mozeg do konca, razsutja
poante, ki zdelana bega poete?
Brez nauka tale bo pesem ostala;
če to sploh je pesem, ki naj jo kdo bere ...
Če ni to le taka pokvekica mala,
ki želja izvrgla jo je, zdaj se dere
in sili v pretvezo zahirane šale,
ki vsakdan jo s smehom polkislim izpere.
odlična pjesma, bravo!!!..poštovanje
LA PERSISTENCIA DE LA MEMORIA
(Un chant sur l'amour, Cupidon paresseux
et coïte payé la poésie avec)
prologue :
les personnages historiques déguisés en
marionnettes pour les jeux du théâtre des
enfants
sont-ils maintenant les poètes
ou n’ont-ils pas du savoir de soi et
portent les cheveux sanglants
(je cache le miroir, mais ...)
arrachent à l’enfant
de naïve et noble d’auditoire de l’enfant
toute dernière croûte de pain
...
La persistentia de la memoria
(sur l'espérance indestructible de
l'homme)
La persistance de Souvenir suspendu
dans l'état humain Salvador Dali
comme les heures fatiguées tombées
dans le désert
(image)
mais aussi l’espoir que l’obsession du
diable par moi
en dépit de toute sa lâcheté, la bêtise et
de démagogie
malgré toute sa pastichéité, l'ambitionéité
et la persistance qu'il va lui, dans le
monde de lui semblants, apporter les succès
et l’adoucir de poisons créant
la douleur en lui
Cependant, qu’il se peut d’être possible
le souvenir du temps
quand il se fut un homme lui aussi
sur du papier transparent
des petits caractères gris et bleus
je luise d'une nuit à
l’autre
à la place où il m’a était laissée une
note
nous avons trouvé dans le désert, une
source inépuisable
et créateur a surit par le soleil
sur ces qui son visage
appuyaient à l'eau sans fin
et je me demandais sans la voix qui t’es
quand il n'y avait pas de répons
différent que Lettres Irraisonnables
Oh, si ce n’est pas que la nuit
mon âme retourne
pour me rencontrer
isolé et Fatigué de l'Éternité
Komentiranje je zaprto!
Napisal/a: Lidija Brezavšček - kočijaž (urednica)
Uredniško pregledano.
Ocenjevanje je zaključeno!