sonet za spregledat

  Uh, danes spet pišeš brez ritma besede!

 Ponikle so v ustih, le prsti spoznajo

njih zloge,  ko led  tastature zaznajo

in koščke razpadlih sestavkov iz bede.

 

Res moraš pisati te mrtve sonete,

ponavljati rime, ubežna občutja,

in drezati v mozeg do konca, razsutja

poante, ki zdelana bega poete?

 

Brez nauka tale bo pesem ostala;

 če to sploh je pesem, ki naj jo kdo bere ...

Če ni to le taka pokvekica mala,

 

ki želja izvrgla jo je, zdaj se dere

in sili v pretvezo zahirane šale,

ki vsakdan jo s smehom polkislim izpere.

 

Lidija Brezavšček - kočijaž

Mensur Ćatić

Poslano:
15. 01. 2012 ob 17:49

odlična pjesma, bravo!!!..poštovanje

LA PERSISTENCIA DE LA MEMORIA


 (Un chant sur l'amour, Cupidon paresseux
et coïte payé la poésie avec)

 prologue :

les personnages historiques déguisés en

marionnettes pour les jeux du théâtre des

enfants
sont-ils maintenant les poètes
ou n’ont-ils pas du savoir de soi et
portent les cheveux sanglants
 (je cache le miroir, mais ...)

arrachent à l’enfant
de naïve et noble d’auditoire de l’enfant

toute dernière croûte de pain
 ...

 La persistentia de la memoria
 (sur l'espérance indestructible de

l'homme)
 
 La persistance de Souvenir suspendu
 dans l'état humain Salvador Dali
 comme les heures fatiguées tombées
 dans le désert
 (image)

mais aussi l’espoir que l’obsession du

diable par moi
en dépit de toute sa lâcheté, la bêtise et

de démagogie
malgré toute sa pastichéité, l'ambitionéité
et la persistance qu'il va lui, dans le

monde de lui semblants, apporter les succès

et l’adoucir de poisons créant
la douleur en lui
 Cependant, qu’il se peut d’être possible

le souvenir du temps
 quand il se fut un homme lui aussi
 
 sur du papier transparent
 des petits caractères gris et bleus
 je luise d'une nuit à
l’autre
 à la place où il m’a était laissée une

note
 nous avons trouvé dans le désert, une

source inépuisable
 et créateur a surit par le soleil
 sur ces qui son visage
appuyaient à l'eau sans fin

et je me demandais sans la voix qui t’es
quand il n'y avait pas de répons
 différent que Lettres Irraisonnables

 Oh, si ce n’est pas que la nuit
 mon âme retourne
pour me rencontrer
 isolé et Fatigué de l'Éternité
 

 

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Lidija Brezavšček - kočijaž
Napisal/a: Lidija Brezavšček - kočijaž (urednica)

Pesmi

  • 15. 01. 2012 ob 17:31
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